LE SECRET DES FAKIRS

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Malgré le titre de ce billet, le véritable fakir n’a pas de secret. Il n’a rien a cacher. Aucun “truc” qui, une fois dévoilé, ne ferait chuter l’étonnement ou l’admiration de son public. Comme l’expliquait continuellement BEN-GHOU-BEY,  “tout le monde peut le faire”. Evidemment, à cette expression, il faut ajouter les mots : TRAVAIL, DISCIPLINE, VOLONTE, HONNETETE, COURAGE et bien d’autres qualités. 

 

  Mais alors, comment fait un véritable fakir

  pour ne pas ressentir la douleur ? 

 

  N’oubliez pas qu’un fakir digne de ce nom est un homme normal. Il ressent la douleur. Il ne résiste pas à la douleur. Il ne “serre pas les dents” en disant “ même pas mal ! “ Non, loin de là, l’état second dans lequel il est apte à se plonger, lui fait “oublier la douleur”. Il ne ressent rien. Absolument rien. Et l’explication est extraordinairement simple. C’est ce que je vais tenter décrire à continuation.

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A tout a chacun, il est déjà arrivé de se blesser sans s’en apercevoir. Il arrive parfois que l’on se rende compte de la blessure, car il y a saignement. “Tiens ! comment me suis-je fais ça ? Nous n’avons, sur le moment, absolument rien senti. POURQUOI ?

La réponse est toute bête. Nous pensions à “autre chose”. Nous étions terriblement occupés à un autre événement. Nous n’avions pas le temps de penser à la douleur !

Et voilà en partie, le fantastique “secret des fakirs”. Etre capable de penser “ à autre chose” au moment voulu. Il est certes extrêmement difficile de penser à autre chose au moment de se transpercer avec un fleuret. D’autant plus que la douleur est le signal d’alarme que nous possédons. Elle avise qu’un danger menace notre intégrité. Plus le danger sera grand, plus le signal sera fort et plus le fakir devra “oublier” la douleur.

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Pour comprendre ce processus, il nous faut savoir que le corps humain est une chose, et que l'esprit qui le dirige en est une autre. Ce n'est pas une idée nouvelle, certes, mais elle est toujours d'actualité. La science "officielle" refuse souvent ce concept mais, commence malgré tout à aborder le sujet dans le domaine de NDE ( Near death experience ) ou en français EMI ( Expérience de Mort Imminente) . Malgré les connaissances actuelles, et au grand dam des médecins, ce n'est pas le corps qui ressent la douleur, sinon , l'esprit qui l'anime. Le véritable fakir en est une preuve. Le corps en lui même n'est que de la "viande" et un roast-beef ne ressent aucune douleur !

  Nous ressentons la douleur car notre esprit est bien ancré aux commandes de notre corps mais s'il s'absente... les prodiges du fakirs sont alors possibles. L'esprit c'est notre pensée à l'état pur. Lorsque nous nous blessons sans nous en apercevoir, notre pensée est ailleurs, et plus elle sera ailleurs, plus notre esprit sera détaché de notre corps et fera oublier la sensation de douleur.

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 Ce n'est qu'une variante de ce que certains nomme la décorporation

  La maîtrise de se dédoublement fera le fakir. A volonté, sur simple commande de sa pensée, il expulse son esprit hors de son corps et transforme ainsi ce dernier en simple « morceau de viande »

  Comme dans toutes les disciplines, il y a plusieurs stades de  réussite, plusieurs échelons. Le simple fait d’arriver à penser à autre chose à volonté est une étape. Celui de maintenir cette distance malgré l’agression de la douleur en est une autre. Le premier stade permettra au « fakir » de pouvoir se faire torturer par un tiers et rester de marbre.  Il sera alors en transe, immobile et insensible aussi bien à la douleur qu’à tout se qui se passe autour de lui.  (Voir les videos de Mirin dayo sur ce blog ) Un autre échelon est cependant possible. Celui que pouvait atteindre régulièrement BEN-GHOU-BEY. C’est-à-dire une absence de l’esprit, permettant de ne pas ressentir la douleur, mais toutefois une présence suffisante pour pouvoir rester apparemment normal  et être en mesure de se mouvoir et utiliser lui-même les instruments destinés à être introduits dans ses chairs.  Afin de mieux comprendre nous pourrions comparer cela au sommeil. Le premier stade est de s’endormir sur commande. Une fois endormi, « supporter » une douleur sera alors possible, mais la perte de conscience est totale. Le deuxième stade serait comme le somnambule qui, malgré son « inconscience » est toutefois capable d’action physique complexe, telle marcher, éviter des obstacles ou cuire un œuf au plat !

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La décorporation, phénomène troublant qui fascine. Et pourtant si naturel, puisque chacun d’entre-nous la vit au quotidien au moment du sommeil. La machine est alors éteinte et ne garde que les fonctions vitales en mode de « veille ». Cette absence momentanée de notre état de conscience, est très mal comprise par la science moderne. Le principe d’une dualité « corps esprit » n’est généralement pas admis. Et pourtant, de nombreux phénomènes comme les visions à distance, les NDE, le somnambulisme, etc.. et le véritable fakir sont autant d’évidences, que le doute n’est plus permis. Le fakir Ben-Ghou-Bey l’affirmait.  Au moment de son travail sur scène, une partie de lui était absente. Il n’entendait rien, ne voyait rien, ne pensait à rien, ne sentait rien…. En d’autre terme, il dormait debout !  La grande Maîtrise, et c’est surtout ce qui est difficile à comprendre, est que le véritable fakir, est en mesure de « s’absenter » et revenir en une fraction de seconde. Et ceci à volonté, aussi bien dans un sens que dans l’autre. Mais attention, si cet état peut s’apparenter à un sommeil, il ne l’est pas car, le véritable fakir, malgré cette absence, reste conscient de ce qu’il fait. Et oui, sinon, il ne pourrait pas revenir à lui au moment désiré ! C’est du moins le niveau d’excellence qu’avait atteint BEN-GHOU-BEY.

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Peut être que le lecteur ne verra  pas immédiatement le « lien » existant avec cet article, les vidéos qui le succèdent et le  « secret » des fakirs.  Pourtant, il y en a un et d’une importance capitale pouvant faire avancer la science reconnue et officielle  d’un pas d’un géant. Les vidéos qui vont suivre parlent des comportements étranges que peuvent avoir les somnambules. Le somnambulisme reste, aux yeux de la science officielle, un mystère tel le fameux pouvoir des fakirs. Hors, les deux phénomènes sont étroitement liés. Ils ne sont compréhensibles que si nous admettons que le corps et l’esprit sont deux éléments nous composant, totalement distinct l’un de l’autre. Certes, dans l’état normal des fonctions, ces deux composants sont tellement en osmose que l’œil non averti est amené à les confondre, ou plutôt les fondre en un seul.  Si la séparation du corps et de l’esprit chez un réel fakir est atteinte volontairement , ce n’est pas le cas chez le somnambule. Pourtant nous pouvons constater de fortes similitudes en ce qui concerne le ressenti de la douleur.  Le somnambule sera aussi insensible qu’un fakir . Ce qui peut être extrêmement dangereux car celui-ci peut très bien se couper gravement, ne pas le sentir, et se vider de son sang avant  un éventuel réveil. Pour tenter donner une explication au phénomène, la science cherche des explications au niveau biologique, neurologique, psychiatrique etc. mais laisse de côté l’esprit. Elle n’y croit pas. C’est une explication d’un autre temps, religieuse ou mystique et pourtant c’est la seule explication valable comme le prouve un véritable fakir en ayant maîtrisé l’art de ses « sorties » . 
Voir les vidéos : 

99 histoires de somnambulisme 1

99 histoires de somnambulisme 2

99 histoires de somnambulisme 3

99 histoires de somnambulisme 1
99 histoires de somnambulisme 2
99 histoires de somnambulisme 3

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L’homme est « conscient »  lorsque son esprit intègre parfaitement le corps, lorsqu’il sort ou commence à sortir, vient alors tous les degrés « d’absence » ou  d’inconscience que nous pouvons constater, aussi bien dans le fakirisme que dans tous les troubles du sommeil.

 

  Bon nombre d’autres  « atteintes », phénomènes ou pathologies demeurant encore aujourd’hui mystérieuses pour le monde médical ou scientifique ,  demeurent inexpliquées pour les mêmes raisons. Le refus  de reconnaitre l’existence réelle et « palpable » de  l’esprit  au travers de ces comportements qui échappent à toutes explications « rationnelles » .  L’esprit est responsable de notre conscience. Lorsque pour une raison ou une autre, il est appelé à s’absenter, que ce soit sous l’effet de la volonté ( fakirisme) , du sommeil, de la fatigue, du stress, de la drogue, d’un médicament, de l’alcool, tout ce qui est  peut influencer notre conscience et volonté nous retrouverons toujours les mêmes symptômes.  A différents degrés évidemment.  A savoir, perte de sensibilité, difficulté motrice,  perte d ’équilibre, amnésie , difficulté de localisation dans le temps et l’espace etc..

  Comme nous le verrons plus tard, d’autres « mystères » de la science tels les personnalités multiples, les schizophrènes, les possessions diaboliques et mêmes Alzheimer trouvent leur source dans un éloignement de l’esprit. Mais nous le verrons plus tard, ce dossier est donc à suivre…..

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Nous demanderons aux lecteurs de faire un petit effort d’imagination. Nous demanderons le même effort aux scientifiques de tous poils. L’effort à faire est le suivant : Le véritable fakir prouve par ses actes que le maniement de cette chose immatérielle nommée esprit, âme, conscience bref, peu importe le nom, permet d’expliquer d’apparents miracles. Si le fakir explique ses prouesses par la maîtrise de cette chose, il faudra bien admettre la véritable possibilité qu’elle puisse exister.  Elle n’existe pas seulement en pensée, mais bel et bien physiquement puisque les faits sont là.  Le fakir ne ressent pas la douleur parce qu’il  « s’imagine » ne pas la ressentir. Il n’hallucine pas. Ce n’est pas un rêve. Les appareils sont là pour le prouver. Donc, nous pouvons admettre l’idée que cela est vrai et bel et bien efficace. BEN-GHOU-BEY l’a prouvé, d’autres aussi. Ce n’était pas un mystérieux indien, parlant un non moins mystérieux dialecte et dont on ne pouvait pas accéder aux secrets fautes de traducteur. Il était bien compréhensible. Il était français. Il n’était pas un mystique non plus dont les explications ce serait limitées à un « Dieu » tout puissant. Non, c’était un homme posé, curieux et un vrai scientifique dans l’âme. Aucune affabulation sinon, comme il disait toujours des théories tirées d’une véritable pratique. L’effort à faire est donc d’admettre  l’existence d’une « matière », d’une chose, d’un esprit jusqu’ici indétectable hors de son support … notre esprit, notre réel MOI, celui qui commande notre corps.

  Et plutôt que de tout nier en bloc, penser que ce sont des contes à dormir debout, des rumeurs propagées et entretenues par des gens à la limite de la débilité intellectuelle, cherchons sincèrement les preuves, pointons les du doigt, et mettons les en évidences. Ensuite, nous comprendrons, saurons et aurons alors pénétré le « secret des fakirs. »

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La science médicale « butte » littéralement sur certaines pathologies, et surtout sur celles  qui concerne les aspects psychologiques ou mentales des sujets. D’ailleurs, la psychiatrie ou la psychologie  ont longtemps été, et le sont certainement encore, considérées comme des « branches » un peu à part de la « vraie » médecine. Il y a véritablement deux espèces de clans, ceux qui traitent le corps et l’autre qui tente une immersion dans tout ce que touche l’impalpable du mental. La science officielle commence à mettre les barrières dans ces propres murs !   Et il n’est pas rare de trouver des médecins qui considèrent  les « psy » comme légèrement farfelus. Curieusement, ceci ne veut pas dire que le monde des « psy » admet l’existence de l’esprit en tant que tel. On en parle beaucoup, mais ce n’est pas une « chose » vraiment réelle. L’explication tend plus à déborder sur la neurologie, en considérant des « branchements » mal connectés et pour guérir les atteintes dites de l’esprit, nous bourrons le corps du sujet d’une quantité astronomique de drogues diverses.  Il n’y a pas si longtemps, la « science » réparait ses malades à grands coup de lobotomies ou de chocs électriques ! Pour être plus clair, le monde « psy » veut soigner un élément auquel il ne croit pas vraiment, pour ne pas dire pas du tout.

 

  Lorsque nous aurons admis l’existence réelle de l’esprit,  nous comprendrons alors les mystères qui se cachent derrière les plus importantes inconnues de la science moderne. 

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Des inconnues dont certaines sont considérées comme impossibles tellement la compréhension qu’en a la science officielle est éloignée de la vérité.  Elles sont alors classées dans le domaine de la folie, du paranormal ou du surnaturel !  En voici un échantillon :  Pour commencer nous signalerons le fakirisme qui est le thème principal de ce blog.  L’esprit est contrôlé par le sujet et sort ou rentre à volonté afin de ne pas ressentir la douleur. Le sommeil, qui malgré  sa banalité reste un mystère pour la science. L’esprit sort naturellement du support  probablement afin de se recharger en énergie. Le somnambulisme, l’esprit contrôle son corps depuis l’extérieur comme le fait un fakir plongé dans sa transe. La décorporation et l’ Expérience de Mort Imminente ( Near Death Expérience )  L’esprit abandonne momentanément le corps sous l’effet d’un grand choc. L’évanouissement en est également un échantillon. L’esprit laisse le corps brusquement.  Toute les différentes sorte de coma sont un abandon momentanée du corps par l’esprit. Face à tous ces exemples, notez bien que la médecine reste, disons, perplexe.

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Et puis , n’oublions pas que si un esprit peut sortir de son corps et bien, il peut aussi tout simplement rentrer dans un autre !  Ce n’est ni plus ni moins ce qui se passe en véritable « hypnose » telle la pratiquait mon père, le fakir BEN-GHOU-BEY.

  Cette possibilité rend alors compréhensible les cas de possession genre « l’ exorciste » . Dont découle également les cas de Personnalités Multiples, aussi appelés dédoublement de personnalité. Ce n’est pas qu’une simple impression, le sujet est alors bel et bien « envahi » par un autre esprit. Ce qui évidemment provoquera une amnésie totale lorsque le véritable propriétaire reprend sa place. Il ne peut pas savoir ce que l’autre à fait pendant sa période d’absence. Voir à ce sujet les videos suivantes.

Personnalité multiple 1 

Personnalité multiple 2 

Personnalité multiple 3 

Voir les vidéos ci-après

PERSONNALITE MULTIPLE 1

PERSONNALITE MULTIPLE 2

PERSONNALITE MULTIPLE 3

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L’esprit peut sortir par la force de volonté de son maître, tel le fakir, mais une foule d’autres raisons peuvent provoquer le même effet. A partir du moment ou la menace pour l’intégrité du corps se fait présente, l’esprit choisi de partir. Certainement comme une défense préventive.  Tout  dépendra alors de la force de l’esprit. Et de ce qu’il interprète comme danger. Un esprit faible, sortira  et abandonnera son corps à la moindre alerte.  Parfois une simple frayeur ou émotion forte.  La personne « tombe alors dans les pommes ». C’est l’évanouissement.  Une personne dont l’esprit est plus accroché et qui n’a pas peur restera en place, donc conscient, devant la même situation qui a été traumatisante pour le premier. 

  Pour ce genre de « sortie », une atteinte physique réelle n’est pas absolument nécessaire, la  simple « vision » d’une scène choquante peut suffire.  L’imagination, du sujet amplifie les faits et les transpose à lui-même. Voir souffrir ou s’accidenter une autre personne est alors interprété comme étant un danger  personnel. Il y a une mauvaise interprétation de la réalité par un manque réflexion consciente. Si la personne est un peu plus forte d’esprit , la simple vision ne suffira pas pour tomber dans les pommes. Il faudra une atteinte physique. Une fois encore, les différents niveaux de réaction dépendront du niveau de force ou d’élévation de l’esprit. 

  Si cet esprit est « faible »,  il fuira son corps devant une atteinte physique qui paraîtra ridicule à un esprit plus fort. Une simple piqûre lors d’une vaccination ou d’une prise de sang suffira amplement à déclencher le processus. La faiblesse de l’esprit ne lui permettra pas de raisonner , son « intelligence » ne comprendra pas qu’une simple aiguille n’est pas un danger mortel, son imagination amplifiera la douleur ( au contraire du fakir qui oublie celle-ci, le faible d’esprit concentre tout ses efforts pour y penser et de ce fait « amplifie l’effet douloureux » )

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Le fakir provoque un effet physique sur son corps par le simple fait d’oublier la douleur en faisant le vide, en ne pensant à rien.  Il obtient ce résultat par une simple pensée. Celui ou celle  qui « s’évanouit » à la vue d’une simple aiguille obtient également un effet physique sur son corps par le simple fait de penser « un peu trop ». Il se concentre au contraire sur la douleur, l’amplifie et ne pense qu’à elle. Plus rien n’a d’importance à ses yeux sinon la douleur. Et plus cette dernière s’amplifie, plus son esprit aura peur jusqu’au point de fuir devant un danger qu’il juge alors dangereux, voire mortel. L’esprit abandonne alors le corps et « tombe dans les pommes », c’est alors l’inconscience. Ce même processus peut être  , hélas,  encore plus profond car il peut aller jusqu’à l’inconscience définitive, si nous pouvons nous exprimer ainsi: La mort. Le cœur s’arrête et il sera vraiment impossible au monde médical de calculer combien sont décédé effectivement d’un problème du « moteur », ou  d’une « trouille » démesurée de leur esprit ! Mon père, le fakir BEN-GHOU-BEY disait et avec très juste raison, que les personnes meurent bien souvent d’avoir peur de mourir ! 

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Comme vous l’aurez compris d’après ce que nous avons tenté décrire dans les paragraphes antérieurs, le  fameux pouvoir du fakir ou « le secret du fakir » réside presque essentiellement à l’effet qu’il obtient grâce au contrôle de ses sorties de l’esprit  et sa maintenance à distance de son corps.  S’il provoque ces sorties volontairement, d’autres, dans un espoir d’atteindre des résultats similaires, arrivent à provoquer  également des sorties de l’esprit par d’autres subterfuges. Parfois par simple réelle méconnaissance , d’autres par fainéantise cérébrale  ou inconscience totale.   Ceci en essayant atteindre des « sommets » ou des « sensations »  spirituelles sans un long et pénible travail de réelle discipline . L’esprit peut donc être chassé du corps de diverses façons. Le premier moyen est de « droguer » le corps à l’aide de substance  diverses. Les anesthésies réalisées pour les opérations chirurgicales en sont un exemple flagrant.  Au même titre que le fakir dont l’esprit s’est absenté, le corps est alors transformé en « tas de viande »  absolument insensible.  Un simple ivrogne ayant dépassé la dose limite pourra chasser l’esprit de son corps et tomber dans le coma éthylique. Les toxicomanes de toutes sortes arrivent à « voyager » en absorbant de la cocaïne, héroïne, opium ou autre. Leur tolérance à la douleur  est bien supérieure à une personne consciente etc.

  L’esprit sort également pendant le sommeil . De ce fait, tout ce qui fatigue le corps au point de l’endormir ou étourdir ses sens provoque une sortie de l’esprit. Autrement dit une « transe ».  Les danses frénétiques  d’une secte vaudou ou l’ambiance endiablée des discothèques. Citons également les « derviches tourneurs », ou le simple pendule oscillant devant les yeux de ceux qui , à tort, se prennent pour des hypnotiseurs. 

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  Comme vous l’aurez donc compris au cours des billets précédents, le secret principal des fakirs se situe en cette habilité à manier leur esprit.

Lorsque nous parlons d’esprit, la science officielle est réticente à admettre le fait. Ceci évoque aux yeux des rationalistes scientifiques les contes à dormir debout de fantômes ou autres et de ce fait , nous débordons dans le « surnaturel ». Et pourtant de nombreux indices laissent à penser que toutes les disciplines touchant au paranormal ont un seul et unique lien..l’esprit humain. D’ailleurs, il est curieux qu’au cours des temps, il y a quand même eu des hommes qui ont fait de sérieuses recherches sur des thèmes très apparentés et qui sont arrivés à des conclusions proches de celle avancées par le fakir BEN-GHOU-BEY. 

Nous pourrions citer par exemple

Léon-Hippolyte-Denizart Rivail dit ALLAN KARDEC, né à Lyon en 1804 )   et qui dans sa recherche sur les esprits affirme que les faits « surnaturels » sont soumis à des lois et qu’ils sont dans l'ordre des phénomènes de la nature. Ses recherches ne sont évidemment pas prises aux sérieux par la communauté scientifique car ALLAN KARDEC à donné naissance au mouvement spirite dont les défenseurs sont bien sûr pris pour des illuminés. Toutefois, à continuation vous trouverez le lien vers un des écrits d’ALLAN KARDEC intitulé « LE LIVRE DES ESPRITS »  Lisez-le et vous comprendrez qu’un tel travail  de descriptions et interprétations des faits ne peut être l’œuvre d’un détraqué. Les  parallèles avec le fakirisme  et les influences de l’esprit sont étonnants. Le doute n’est plus permis, l’esprit humain est bel et bien une chose naturelle.

VOIR LES LIENS:

LE LIVRE DES ESPRITS 
ALLAN KARDEC 

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« L'homme n'est pas seulement composé de matière, il y a en lui un principe pensant relié au corps physique qu'il quitte, comme on quitte un vêtement usagé, lorsque son incarnation présente est achevée. Une fois désincarnés, les morts peuvent communiquer avec les vivants, soit directement, soit par l'intermédiaire de médiums de manière visible ou invisible (Le livre des Esprits) »

  Cette déduction d’Allan Kardec est identique à celle que les fakirs tel que BEN-GHOU-BEY mettent en avant. Il est à noter que cette idée  n’est pas une simple  théorie avancée par ces hommes mais simplement une déduction inéluctable après des dizaines d’années de recherches obstinées dans le domaine.  Malheureusement le sérieux de ces recherches est rapidement discrédité aux yeux du public et surtout aux yeux de la communauté scientifique par de nombreux charlatans. Au fil du temps, la vérité subit des distorsions et fini par disparaitre. Le savoir se perd.  Remarquons tout de même que bien des religieux, dont les ,Catholiques évoquent cette notion de l’esprit. Mais, au même titre que les charlatans « imitant » les fakirs ou les médiums, et arnaquant les crédules tombés sous leur emprise, le monde religieux diffuse une vérité qu’il ne connait pas et est incapable de reproduire. Le fond de la chose est véridique mais enseignée ou utilisée par des ignorants. L’image de l’esprit que diffuse la religion a une valeur spirituelle ou mystique mais n’est pas considérée comme « réellement physique » aux yeux de la science. Malgré cela la science n’osera jamais traiter la religion d’escroquerie ou de fumisterie  et pourtant elle n’hésite pas à le faire envers des gens comme Allan Kardec ou BEN-GHOU-BEY.

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L’existence de l’esprit  en tant que “chose” physiquement existante est purement et simplement ignorée par la science officielle. De ce fait, tous les phénomènes où celui-ci pourrait jouer un rôle, voire être le principal moteur, sont également niés. Les faits entrent alors dans le “paranormal”, le “surnaturel” ou   le ridicule et provoquent les railleries de ceux qui n’y croient pas. Aucune preuve tangible n’est physiquement apportée. Tous les phénomènes “bizarres” sont explicables “scientifiquement” et s’ils ne le sont pas et bien, il doit y avoir une solution rationnelle que nous seront aptes à comprendre un jour. Ceci prouve au moins que la science a conscience de ne pas tout comprendre et qu’un progrès est possible. Le remarquable dans tout ceci est l’acharnement de la négation face à l’existence de l’esprit. Pourquoi ? Nous avons évoqué plusieurs phénomènes déconcertants pour la science tel que le sommeil, l’hypnose, la perte de conscience, les NDE, les fakirs, les troubles de la personnalité, les possessions, le somnambulisme etc. Tous ces phénomènes n’ont aucune explication claire et nette de la part de nos “savants”. Tous ces phénomènes sont véritablement des curiosités ou des anomalies aux yeux du monde rationaliste. D’autres phénomènes telles la télépathie, le 6 eme sens, les médiums et j’en passe, entrent directement dans l’impossible, les contes pour enfants, la légende ou l’irréel.

  Devant des faits troublants et où la « science » perd pied, cette dernière ne nie pas forcément le phénomène. Elle admet, palpe et mesure. L’exemple du fakir BEN-GHOU-BEY est là pour le démontrer. Mais, s’il n’y a encore pas d’explication « normale » ou scientifique elle refuse catégoriquement celle de l’esprit. Toutes les explications et même les plus improbables sont bonnes mais surtout pas celle de l’esprit. C’est une véritable phobie.

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Et pourtant,, des preuves visibles et palpables qu’il nous faudra un jour où l’autre admettre l’existence de l’esprit sont légions. Pour ne prendre que la télépathie, chacun de nous à déjà vécu une expérience pouvant mettre en évidence son existence. Les “rationalistes” de tous poils mettront en avant les supercheries, le manque de bon sens des sujets, ou le manque de fiabilité de leur témoignage, ou encore, les coïncidences, les probabilités mathématiques etc... Ce qui est très souvent vrai, il nous faudra bien l’admettre.  Curieusement, il est presque de notoriété publique et reconnu par ne nombreux médecins spécialisés dans le domaine que des cas plutôt étranges de correspondance mentale entre deux vrais jumeaux sont évidentes et incontestables. Il se passe des choses qui sont  loin d’être de simples coïncidences dues au hasard. Ce n’est pas de la “magie” ni du paranormal et encore moins du surnaturel mais simplement une habilité de l’esprit. Une communication au travers d’une voie qui nous est totalement inconnue. Très difficile d’accès, certes. Encore plus difficile à contrôler. De ce fait, pratiquement impossible à reproduire à la demande mais bel et bien existante. Car c’est là le point qui blesse. Tous ces phénomènes dont l’esprit est le principal acteur, sont extrêmement difficile d’accès. ( il n’ y a pas beaucoup de fakir ). Nous sommes surpris de constater leur manifestations produites au hasard, mais comme il nous est impossible de les reproduire à volonté, le doute de leur véritable existence demeure. En gros, la science se comporte comme les hommes de bas niveau qui pensent que si « eux » ne peuvent réaliser telle ou telle chose, personne ne peut. 99 % , 99 des hommes et femmes de notre civilisation sont totalement incapables de contrôler leur esprit. Donc ces actions ne peuvent être observées avec certitude et ne rentre plus dans la « normalité » 

voir le lien :

LES JUMEAUX ET LA TÉLÉPATHIE

Lien inné entre jumeaux 1

Lien inné entre jumeaux 2

Voir les liens

LIEN INNÉ ENTRE JUMEAUX 1 

LIEN INNÉ ENTRE JUMEAUX 2

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Beaucoup diront que tous ces discours sur l’esprit sont bien jolis mais que cela tient plus du conte ou de la légende. Qu’il n’y a là rien de concret et beaucoup d’entre vous cherchent encore désespérément le « secret des fakirs ». Parvenir à provoquer des actes aussi miraculeux que ceux que peuvent produire les véritables fakirs est une véritable science et surtout un « état d’esprit ». Par « état d’esprit » , je ne fais pas ici référence à la transe ou état modifié de conscience dans lequel le fakir est plongé afin de ne plus ressentir la douleur mais à une » façon de penser » et de vivre la vie au quotidien.

En effet, afin de pouvoir atteindre le grade de fakir, afin de pouvoir oublier la douleur dans les cas extrêmes qui impressionnent les foules, il faut arriver à l’abnégation. A cette humilité parfaite qui fait que vous n’êtes rien devant les forces de la nature. Faire preuve de plus d’amour envers les autres qu’envers soi-même. Renoncer à soi. Mon corps est meurtri, cela n’a pas d’importance, mais mon esprit ne l’ai pas et je peux encore vivre pour aider les autres.

Aujourd’hui, nous trouvons de moins en moins de véritables fakirs pour la bonne et simple raison que l’égoïsme est roi.  Rien dans notre comportement ne démontre de l’amour envers les autres. Cet égoïsme se reflète sur notre « résistance » à la douleur car à nos yeux seul nous importe notre petite personne .Il est évident que de nos jours, à peine nous souffrons d’une atteinte bénigne, un simple bouton sur le nez et c’est l’a chirurgie. Un refroidissement et toute une batterie de médicament vous sera automatiquement  prescrit par votre médecin, qui lui non plus ne pense pas à vous, mais à son portefeuille . Que dire de l’acharnement thérapeutique lorsqu’une pauvre mémé dépassant les cent ans est toujours maintenue en vie et  soignée  journellement par une armée de spécialistes .  A peine une tâche « microscopique » apparaît que nous sommes face à un « cancer » …la moindre atteinte à notre corps et notre monde s’écroule. Pire encore, même s’il n’y a aucune atteinte « physique » nous pouvons nous affoler et subir des traitements pendant des années simplement parce que nous sommes incapables d’arrêter de nous goinfrer pour perdre du poids, ou au contraire de manger correctement pour en gagner. !  Notre force de volonté est complètement absente. Nous ne savons même pas ce qu’est notre esprit. Nous n’y croyons même pas; La science s’en moque d’ailleurs.  Par contre notre corps nous est si cher que nous sommes prêts à le transformer dès le plus jeune âge afin de rester jeune. Afin de « briller » en société, afin que l’on m’admire, moi. Cette façon superficielle de penser, cet égoïsme baignant notre société ne nous ouvrira jamais les portes de la science du véritable fakir.