CRUCIFIXION !


CRUCIFIXION cooltext

Cliquez sur le lien, vous y trouverez un excellent article sur la crucifixion, dont les commentaires sont très proches de ceux maintes fois décrits par mon père, le fakir BEN-GHOU-BEY : CRUCIFIXION










au japon






 Encore un taré qui croit prouver quelque chose en souffrant inutilement. Nous sommes loin du fakirisme ainsi que de la crucifixion, cependant l'idée de fond reste la même. En effet, par ignorance certains abrutis croit s'élever spirituellement en voulant reproduire des actes commis ou subis par des hommes exceptionnels grâce à l'élévation de leur mental.  Que ce soit un véritable fakir ou Jésus lui-même.














1 commentaire:

  1. Bonjour, Je découvre votre site et le très impressionnant travail de votre père. J'ai également commandé et commencé à lire votre dernier livre (Le Secret d'un fakir). Et beaucoup de choses me touchent ici : son intégrité, ses raisonnements très sains, son bon sens, sa lucidité (peu de vrais fakirs, peu de vrais maîtres, même en Inde ; beaucoup de mégalos, d'inconscients, de sado-maso, et bien sûr de charlatans...), son courage... Bien sûr, ce que ses performances disent au sujet du potentiel humain est faramineux. Pour ceux qui doutent encore à ce sujet, cela fait une confirmation de plus. Mais si je laisse ce commentaire sur la page précise de l'expérience de la crucifixion, c'est parce que cela m'a touchée aussi à un autre point de vue : il est possible que le Christ, qui accomplissait déjà tant de miracles (et je suis plutôt tentée d'y croire pour ma part), n'ait en réalité pas souffert lors de la crucifixion (ou en tout cas, beaucoup moins, lors de toute l'épreuve de la Passion, que ce que l'on imagine habituellement en projetant le niveau de conscience et le degré de maîtrise normaux d'un individu lambda sur Jésus... Il serait en effet étonnant que Jésus n'ait pas été lui-même, entre autres choses, "fakir". Et de voir soudain les choses ainsi m'a fait un bien fou ! Je ne suis pourtant pas chrétienne (dans le sens où je n'adhère pas à suffisamment de dogmes chrétiens pour pouvoir me déclarer légitimement chrétienne, de mon point de vue). Mais j'ai toujours aimé profondément le personnage du Christ. Et lorsque j'avais vu à la télévision le Jésus de Nazareth de Zeffirelli lorsque j'avais 6 ans (Pâques 1979), j'avais eu une terrible crise de larmes lors de l'épisode de la Passion. Ma mère et ma grand-mère réunies n'avaient réussi à me calmer ! Donc qu'il existe une possibilité pour que le Christ n'ait que modérément souffert, c'est à dire pour que, jusqu'au bout, son esprit, sa merveilleuse âme, ait été plus forte que les pouvoirs terrestres, parfois pervers, oui, cela me fait un bien fou. Et j'ai été très étonnée moi-même par ce sentiment spontané : ne me définissant pas comme chrétienne, je n'imaginais pas que cela puisse être si important pour moi. Mais si... Sans compter que la religion chrétienne elle-même s'est constituée en partie - et de façon assez malsaine - autour de la supposée souffrance du Christ. Que l'Eglise ait choisi comme symbole le crucifix - c'est à dire le moment où le Christ s'est retrouvé le plus vaincu - plutôt que de choisir un autre symbole, se référant à tous les autres moments où il a été victorieux et grand (ses miracles, sa générosité, sa sagesse...) n'a absolument rien d'anodin ! J'ai même toujours pensé qu'un tel mauvais goût était à la limite du diabolique : en temps normal, quand on veut se souvenir d'un défunt qui est, par exemple, mort dans un accident de voiture, on ne s'appesantit pas sur les horreurs que son corps à subies à cette occasion, mais on rend hommage à tout ce que cette personne a été de son vivant. On ne se met pas à porter l'effigie d'une voiture accidentée autour du cou en signe d'amour et de souvenir.... Donc je tenais simplement à vous remercier pour ça, pour cette prise de conscience subite, que je n'avais jamais eu l'idée de faire seule en raison d'un certain matraquage culturel : et si, finalement, le Christ n'avait pas souffert - du moins pas autant qu'on le dit ? Et si, la nature du Christ - sa conscience, son savoir, sa spiritualité... - impliquait très naturellement qu'il soit AUSSI fakir, et qu'il ait pu faire appel à ce don pour minimiser autant que faire se pouvait les souffrances et les dommages liés à l'épreuve de sa Passion ? MERCI, du fond du coeur... Sandrine

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