LE FAKIR BEN-GHOU-BEY

VOULOIR C'EST POUVOIR
Comme dans tous les domaines et spécialement dans celui du fakirisme, il y a les vrais et les faux fakirs. A titre de comparaisons je pourrai dire qu’il existe les vrais cuisiniers et les restaurations rapides. Les premiers excellents dans l’art culinaire et les seconds vendent un produit bon marché sans même savoir ce qu’est l’alimentation. L’art de la table peut être raffiné jusqu’au moindre détails ou le plus élémentaire, comme les cuisiniers, les assiettes et les couverts peuvent être absents ! En ce qui concerne le fakirisme, les choses sont exactement pareilles.
Dans un domaine comme dans l’autre, les photographies, aussi belles soient-elles ne prouvent absolument rien. Les plus connus ne sont pas forcément les meilleurs. Loin de là ! Et pour continuer la comparaison, il sera facile d’affirmer que ce ne sont pas toujours les plus vantés et publicités qui sont de véritables professionnels.
A l’aide de cet article, je vais essayé de faire comprendre à mes lecteurs, ce qu’est un véritable fakir. Non pas à des fins publicitaires, mais afin que le public cesse de se faire berner et soit pris pour ignorant. Je rédige également ces quelques lignes en hommage à mon père, le fakir Ben-Ghou-Bey, qui, tout au long de sa carrière, démontra avec brio les fabuleuses possibilités du corps humain.

BEN-GHOU-BEY lors d’une représentation du « World Greatest Magic Show » sur la scène du Korakuen Ice Palace à Tokyo, dans les années 1963
( en arrière plan, l’autrichien le Yogi Rayo)












Expériences réalisées à l'Université de Psychologie de Tübingen dans les années 1980( Allemagne) Programme mené par le Prof: Wolfgang Larbig auteur du livre : SCHMERZ (douleur) aux éditions Kohlhammer . En vue d’observer et comprendre le rôle des endorphines et des ondes thêta, durant le travail du fakir.

La photographie que vous pouvez voir ci-dessous, montre le fakir BEN-GHOU-BEY effectuant de simples démonstrations. Elle a été prise au laboratoire de l’Université de Tübingen (Allemagne) où BEN-GHOU-BEY, participa comme « cobaye » volontaire à un programme de recherche sur la douleur mené par le Professeur Wolfgang Larbig. Il est à noter, que les expériences reproduites ici, illustrent celles exécutées sur scène lors de ses spectacles. Le niveau de contrôle atteint par BEN-GHOU-BEY lui permettait de réaliser ce même numéro tous les jours voire, jusqu’à six  représentations par jours !



You can see the fakir BEN-GHOU-BEY carriyng out of simple demonstrations. The above photography was taken at the laboratory of the Psychological University in Tübingen ( Germany) where BEN-GHOU-BEY tooks part as voluntary « guinea pig » in a research programm on pain carried out by professor Wolfgang Larbig. Is is noted that, the experiences reproduced here are the same executed by the fakir BEN-GHOU-BEY on stage during his daily show . In some occasion, BEN-GHOU-BEY has presented this show six time a day !
In order to present these experiences several times in the same day, BEN-GHOU-BEY had to accelerate mentally the cicatrisation of his wound




La photographie ci-contre montre le fakir BEN-GHOU-BEY retirant un stylet enfoncé en profondeur, dans le sein gauche, sous les côtes, l'instrument glissant sur le cœur et le griffant parfois.













BEN-GHOU-BEY lors d'une scène du film "Paris Interdit" réalisé par le réalisateur Jean Luis Van Bell en 1969




Au cours d'expériences dans les laboratoires de L'université de Tübingen






Sur la scène d'un cabaret dans les années 1980 en Allemagne avec son épouse Carmen


Le stylet enfoncé dans la gorge ne passe pas seulement sous la peau mais est enfoncé dans la trachée !

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