
Dans un domaine comme dans l’autre, les photographies, aussi belles soient-elles ne prouvent absolument rien. Les plus connus ne sont pas forcément les meilleurs. Loin de là ! Et pour continuer la comparaison, il sera facile d’affirmer que ce ne sont pas toujours les plus vantés et publicités qui sont de véritables professionnels.
A l’aide de cet article, je vais essayé de faire comprendre à mes lecteurs, ce qu’est un véritable fakir. Non pas à des fins publicitaires, mais afin que le public cesse de se faire berner et soit pris pour ignorant. Je rédige également ces quelques lignes en hommage à mon père, le fakir Ben-Ghou-Bey, qui, tout au long de sa carrière, démontra avec brio les fabuleuses possibilités du corps humain.

( en arrière plan, l’autrichien le Yogi Rayo)

La photographie que vous pouvez voir ci-dessous, montre le fakir BEN-GHOU-BEY effectuant de simples démonstrations. Elle a été prise au laboratoire de l’Université de Tübingen (Allemagne) où BEN-GHOU-BEY, participa comme « cobaye » volontaire à un programme de recherche sur la douleur mené par le Professeur Wolfgang Larbig. Il est à noter, que les expériences reproduites ici, illustrent celles exécutées sur scène lors de ses spectacles. Le niveau de contrôle atteint par BEN-GHOU-BEY lui permettait de réaliser ce même numéro tous les jours voire, jusqu’à six représentations par jours !

In order to present these experiences several times in the same day, BEN-GHOU-BEY had to accelerate mentally the cicatrisation of his wound

BEN-GHOU-BEY lors d'une scène du film "Paris Interdit" réalisé par le réalisateur Jean Luis Van Bell en 1969


Au cours d'expériences dans les laboratoires de L'université de Tübingen


Sur la scène d'un cabaret dans les années 1980 en Allemagne avec son épouse Carmen


Le stylet enfoncé dans la gorge ne passe pas seulement sous la peau mais est enfoncé dans la trachée !
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